La finale du 5ème Challenge Blues Français s’est déroulée le 6 juillet au soir dans le cadre du Festival Blues In Queyssac (Dordogne). Six formations se sont produites pour tenter de gagner leur billet d’entrée pour les concours internationaux de 2019.
Les groupes concurrents étaient, par ordre de prestation :
Ronan Onemanband (solo)
The Madest Boogie Revue (duo)
Daddy MT & The Matches (groupe)
Fred Cruveiller Blues Band (groupe)
Elise & The Sugar Sweets (groupe)
Rumble2jungle (groupe)
Aux alentours de minuit et après délibération, le jury a désigné les formations appelées à représenter la France sur les challenges internationaux en 2019 :
European Blues Challenge aux Açores – Portugal (avril 2019) :
Elise & The Sugar Sweets
International Blues Challenge à Memphis (janvier 2019) :
Solo / duo : Ronan Onemanband
Groupe : Fred Cruveiller Blues Band
France Blues adresse ses remerciement à tous les groupes et au jury présent à Queyssac et bien évidemment à la formidable équipe de Blues in Queyssac pour son accueil et son professionnalisme !
Venez jouer dans le Sud Ouest de la France, à Villeneuve sur Lot (47), avec les meilleurs européens et américains !!!
Au programme :
Disciplines : chant, harmonica, guitare, basse et contrebasse, saxophones, batterie, piano et orgue, arrangements mais aussi violon, accordéon …
Le stage comporte non seulement de la technique instrumentale, mais aussi beaucoup de jeu de groupe dirigé, des notions d’arrangements et de nombreux « bœufs ».
Une pratique de base de l’instrument est suffisante.
Ces rencontres se clôtureront par un concert que vous donnerez sur scène le samedi 27 octobre 2018 en première partie de vos maîtres.
Déroulement des journées :
Briefing à 9h45 le mardi matin.
Petit-déjeuner à partir de 8h30.
Cours-ateliers de 10h à 12h30 et de 15h à 17h30.
Rencontres conférences de 18h à 19h30
Déjeuner à 13h
Diner à 19h30
Jam Session tous les soirs à partir de 22h
Les artistes :
Tad Robinson Band (USA) :
Tad Robinson : chant & harmonica
Alex Schultz : guitare
Ken Saydak : piano
Harlan Terson : basse
Marty Binder: batterie
+
Gordon Sax Beadle (USA) : saxophones
Tonky De La Pena (Esp) : guitare
Paul San Martin (Esp) : piano (sous réserve)
Marcos Coll (Esp) : harmonica
Michel Herblin (Fr) : harmonica
Gladys Amoros (Fr) : chant
Michel Foizon (Fr) : guitare
Francis Gonzalez (Fr) : batterie
Abdell « B Bop » Bouyousfi (Fr) : contrebasse et basse
• Johnny Sansone. Le Bayou St. John de Petitjean.Par Stéphane Colin
• Liz McComb. Gospel et symphonique.Par Marin Poumérol et Marcel Bénédit
• Chroniques disque, livres
L’événement en ce début de période estivale pour les amateurs de blues est sans doute la parution du formidable coffret « Voices of Mississippi, Artists and Musicians documented by William Ferris » chez Dust to Digital (DTD-53). L’œuvre de William Ferris – « le folkloriste visionnaire qui a rendu l’Amérique noire immortelle… » – est en partie résumée dans ce travail remarquable auxquels les plus grands noms du genre sont associés (Scott Barretta, Tom Rankin, David Evans). Après la récente disparition de l’attachant et si talentueux guitariste Matt “Guitar” Murphy – auquel on songe immédiatement quand on repense aux films des Blues Brothers – et alors que Bob et Sue Koester « passent la main » chez Delmark Records, une « envie de Windy City » est bien légitime… Cela faisait un moment que nous n’avions pas voyagé au cœur du west side ou du south side dans ces clubs où la musique se conjugue en mode blues et soul/blues ; nous découvrons dans ce numéro un club haut en couleur, l’Odyssey Lounge East, de quoi nous mettre l’eau à la bouche ! La poésie de Johnny Sansone est le petit morceau de New Orleans indispensable à notre bonne santé. Enfin, les projecteurs sont dirigés sur l’actualité de Liz McComb – toujours en quête de nouvelles expériences – qui va bientôt faire se rencontrer Gospel et orchestre symphonique. Nous avons enfin sélectionné les parutions discographiques qui nous ont semblé les plus dignes d’intérêt.
Nous recevons ce jour un témoignage de Mayco Prod nous relatant une histoire exceptionnelle et très touchante … C’est la preuve par l’exemple que le blues est capable de motiver les plus jeunes et cela ne fait que nous conforter dans notre volonté de faire tout notre possible pour que le PédagoBlues soit de plus en plus connu et reconnu ! Mais laissons plutôt la parole à Eric Courier :
« Un immense merci, à cette école élémentaire, proche de Vichy, pour ce grand moment de bonheur et d’émotions, lors de leur fête de fin d’année.
Une enseignante avait découvert le spectacle de Toupie Blues l’année dernière et l’avait adoré. Elle a su convaincre la directrice ainsi que ses collègues de travailler, dès la rentrée, sur l’histoire de Toupie. Toutes les classes ont bûché, en plus de leur programme, la géographie, l’Afrique, les Etats-Unis, le commerce triangulaire, l’esclavage, le travail dans les champs de coton, les instruments de musique et ont finalement décidé de faire leur fête de fin d’année sur le thème de Toupie. Nous sommes venus, en cours d’année, jouer le spectacle.
Déjà, les enfants avaient été impressionnés de voir en « vrai » les musiciens et leur musique live. Les élèves étaient plus motivés que jamais à apprendre les chansons et le conte pour leur fête. Aidés de parents, ils ont créé les costumes et décors tels que le bateau amenant les esclaves en Amérique, le train qui fait rêver Toupie et qui l’emportera réaliser son rêve , la voiture de M. Lomax, le juke-joint, la vieille maison de Patsie et Charly. Extraordinaire !!! Tous les enfants avaient un rôle à jouer, même ceux de la grande section de maternelle. Nous avons eu des moments de grande émotion en écoutant et en voyant tous ces petits jouer à merveille leur rôle et nous n’étions pas les seuls, certains parents essuyaient aussi quelques larmes. Il est assuré que nous retrouverons d’ici quelques années, certains de ces enfants sur des scènes, tant leur amour de la musique, de la chanson et du spectacle transpirait déjà. »
Toupie Blues est un spectacle recommandé par France Blues dans le cadre de son programme Pédagoblues
Consulter les professionnels pour essayer de faire avancer les choses, c’est aussi une des missions de France Blues et c’est à ce titre que nous avons organisé une rencontre aujourd’hui même pour développer des projets consécutifs au succès de la 1ère Nuit du Blues en Français organisée au New Morning le 30 mai dernier !
Pendant que la France était assise devant sa télé à regarder un ennuyeux match France Danemark, nous avons eu tout le loisir d’analyser les résultats et les possibles retombées de cet événement qui a tenu toutes ses promesses puisque le public était au rendez-vous de cette soirée où l’on pouvait (re-)découvrir Peter Conrad, Lol & les Froggy Blues, Mister John & le Comité Central du Blues et enfin Steve Verbeke accompagné de son ami et mentor Benoit Blue Boy !
De quoi se donner envie de chercher des idées intéressantes et d’imaginer de nouveaux projets qui verront sans doute le jour à moyen terme avec bien entendu d’autres Nuits du Blues en Français, mais aussi d’autres événements destinés à populariser un genre de blues à part entière qui mérite véritablement d’être soutenu et qui a toute sa place aux côtés des autres formes de blues.
Un artiste américain réputé nous disait récemment « on ne peut bien chanter le blues que dans sa langue maternelle » … Encore faut-il pouvoir le faire entendre ! Loin d’un quelconque intégrisme qui prônerait le « tout en Français » ou son contraire, le « tout sans Français », il y a matière à trouver une bonne entente et surtout une belle cohabitation.
Si le blues est toujours bien vivant aujourd’hui, c’est parce que les vieux bluesmen ont eu l’intelligence de transmettre leur savoir aux jeunes générations … Cela apparait comme une évidence, encore faut-il que ceux qui ont reçu ces connaissances aient à leur tour l’idée de continuer à faire circuler le flambeau ! Par chance il existe des gens qui ont fait de cette transmission du Blues leur raison d’être, un des plus actifs d’entre eux étant sans doute notre ami et Parrain de France Blues, Michael « Hawkeye » Herman …
Il y a quelques temps, nous nous sommes lancés dans l’inventorisation et dans la labellisation des actions à destination des jeunes publics en créant le label de qualité « PédagoBlues » ! Nous y présentons des artistes et des spectacles qui permettent aux plus jeunes d’être sensibilisés à cette musique qu’est le Blues. Formidable outil pédagogique, le Blues est une valeur forte qui peut être utilisé dans nombre de domaines tels que l’apprentissage des langues et de la musique mais aussi dans ceux de l’histoire, des mathématiques, des sciences et surtout de l’instruction civique !
Nous vous invitons à consulter cet espace « PédagoBlues » à cette adresse : https://franceblues.com/?page_id=6150 mais aussi à le partager et enfin à nous faire part de vos expériences, à nous faire découvrir d’autres projets qui pourraient à leur tour s’inscrire dans cette démarche qui nous est chère …
Si la transmission du Blues est primordiale pour l’avenir de cette musique qui nous rassemble, il n’en reste pas moins que toutes les actions destinées à sensibiliser les gens et en particulier les plus jeunes sont bonnes à prendre. C’est pour cette raison et à la suite de divers échanges avec la Blues Foundation que France Blues a décidé de suivre l’exemple de son aînée en proposant dès aujourd’hui une adhésion gratuite pour les jeunes de moins de 18 ans.
Cette adhésion que nous avons choisi d’appeler « Génération France Blues » est valide de la date de l’inscription jusqu’à la fin du mois de la majorité du jeune. Elle consiste en une adhésion de type « Sympathisant », sans droit de vote à l’Assemblée Générale, et avec gratuité totale jusqu’à son terme.
L’adhésion « Génération France Blues » est assortie de cadeaux et d’avantages spécifiques que nous vous invitons à découvrir sur cette page : https://franceblues.com/?page_id=6399
Tout comme nous vous avez envie de voir le Blues se développer et obtenir la reconnaissance qu’il mérite … Accompagnez nous dans notre démarche et partagez votre passion le plus largement possible !
C’est aujourd’hui, jour de la Fête de la Musique, que sort le clip « Le Blues du Pénitencier », une adaptation faite par Greg Zlap en l’honneur de Johnny Hallyday qui a été son patron mais aussi son ami pendant les dix années durant lesquelles ils auront collaboré.
« Johnny me disait que mon jeu d’harmonica ressemblait à un langage, que mes notes formaient des phrases, que je ne jouais pas mais que je chantais avec mon harmonica … J’ai voulu lui rendre hommage au travers d’un titre qui ne serait pas chanté avec la voix mais chanté avec mon harmonica. Je voulais que ce soit un Blues car c’est une musique qu’il aimait par-dessus tout, mais je voulais aussi qu’il soit interprété avec une énergie proche de celle de la chanson « Gabrielle ». J’ai ainsi choisi de reprendre le thème de cette chanson qui a existé bien avant les adaptations qui en ont été faites par les Animals et par Johnny Hallyday, ce morceau des années 30 qui à l’origine s’appelait « Rising Sun Blues » et qui a traversé le temps. Quand on jouait « Les Portes du Pénitencier » sur scène, Johnny me laissait faire le show pendant l’intro et il se contentait de me regarder, parfois très longtemps, au point que je me demandais pourquoi il tardait à se mettre à chanter. Il appréciait cet instant, c’était un moment de partage entre lui et moi. Johnny était tellement imposant sur scène qu’il était impossible de lui voler la vedette, mais il était très généreux et s’arrangeait toujours pour que ses musiciens aient leur moment de gloire à chaque concert »
Filmé entre Varsovie et Paris, le clip du « Blues du Pénitencier » retrace l’histoire de la vie de Greg Zlap en en faisant un prolongement … Venu à l’harmonica presque par hasard, parce qu’il en avait reçu un pendant son enfance et que cet instrument représentait à ses yeux l’Amérique, Greg qui vivait derrière le Rideau de Fer a finalement découvert le blues grâce à ce simple bout de métal ! Aujourd’hui, c’est à son tour de transmettre la fibre et il le fait en déposant un harmonica pour qu’un jeune garçon se l’approprie et devienne à son tour un grand musicien. Touchant et plein d’anecdotes personnelles, ce clip d’Arkadiusz Bartosiak, le cousin de Greg, bénéficie d’une réalisation très soignée et nous présente un artiste plein de gentillesse, d’humour et de talent !
Greg Zlap est actuellement en tournée jusqu’en novembre. Plus de renseignements sur http://gregzlap.fr
L’Association « MUR DE BLUES » présente la Nuit du Blues avec trois concerts exceptionnels en OPEN AIR à Mur de Bretagne (22) Place St Suzanne le vendredi 13 juillet 2018 à partir de 19h. Ouverture du site 18 h. Billetterie sur place et dans différents points de vente (voir site internet ou Facebook)
Au programme : 1er concert 19h avec Alex de VREE & Erwan le FICHANT (Acoustic Folk’n’Blues), suivi de HOFMANN FAMILY Blues Experience (Blues Rock & Folk Rock 70’s) et Fred CHAPELLIER (Blues Rock) en tête d’affiche.
– Fred Chapellier sera accompagné de Christophe Garreau à la basse, Guillaume Destarac à la batterie, Pascal Bako Mikaelian à l’harmo et Patrick Baldran aux guitares
– Hofmann Family Blues Experience avec Vincent Hofmann aux lead vocal & guitare, David Hofmann aux back vocal & guitare , Patrick Goyat au back vocal & basse et Patrick Boileau à la batterie
– Alex de Vree & Erwan Le Fichant Duo acoustic guitars & vocals
Tarif : 5 € / Gratuit enfant – 13 ans
Restauration et buvette sur place
Magazine trimestriel du Blues en France, d’un format pratique (16 cm X 24 cm), le magazine comporte 96 pages. Tout en couleur et abondamment illustré de photographies, le magazine vous fait revivre les concerts des artistes en tournée en France, vous replonge périodiquement dans l’histoire et les racines de la musique BLUES, sans oublier bien entendu de vous parler des dernières nouveautés du BLUES.
Au sommaire du N°89 :
– Les interviews de Jerry T & The Black Alligators, Greg Zlap, Dave Arcari, Stompin’ Joe, Charlelie Couture, Louis Mezzasoma, Jorge Ramirez, Charles Pasi …
– Les Comptes rendus du Festival Blues Notes, du Bain de Blues Festival, du Salaise Blues Festival …
– La saga d’Alan Jack
– La 2ème partie du dossier « Blues et Boxe, même combat » …
– et les rubriques habituelles : La lettre et l’esprit, Le Steel des autres, L’Harmonica de Greg, La batterie de Been’s, Surfin’ Blues, les chroniques de livres, de CD et de DVD !
• Blues Power ! 50 Albums Live – Il y a cinquante ans, au mois de juin 1968, Albert King enregistrait “Live Wire/Blues Power”, un album en public marquant et de surcroît parfaitement baptisé : c’est souvent sur scène que le blues dégage sa pleine puissance. Aussi, en cette période de festivals propice aux étincelles bleutées, nous avons eu envie de vous (re)présenter 50 albums de blues captés là où il s’épanouit si bien. Par Soul Bag
• Walter “Wolfman” Washington : Passé en perspective – En confiant les clés de son nouvel album à Ben Ellman du groupe Galactic, le chanteur- guitariste Walter Washington signe un merveilleux contrepied, véritable concentré de feeling mis à nu. Une excellente raison de prendre des nouvelles de l’un des secrets les mieux gardés de La Nouvelle-Orléans. Par Ulrick Parfum
• James Harman : Le maître à bord – Souvent associée à la Côté Ouest, La musique de James Harman est restée très attachée à ses racines sudistes et porte les traces des multiples régions où il a habité au cours de sa longue carrière. Rencontre avec un artiste à qui la vie a appris à être indépendant et maître de son destin. Par Christophe Mourot
• Thornetta Davis : Self-made Queen – Contre toute attente, c’est un album autoproduit, “Honest Woman” de Thornetta Davis, qui a obtenu le prix blues de l’Académie du jazz. Venue en personne recevoir sa récompense à Paris, nous avons pu rencontrer la Detroit’s Queen of the Blues. La tournée européenne alors envisagée pour la fin 2018 aurait pu lui apporter l’exposition et la reconnaissance qu’elle mérite. Malheureusement, il faudra encore patienter pour revoir Thornetta Davis sur une scène française. Par Jacques Périn
• Victor Wainwright : Piano must go on – Dans un monde du blues dominé par la guitare électrique, l’irruption d’un chanteur-pianiste aussi doué que Victor Wainwright doit être célébrée à sa juste valeur, a fortiori lorsque celui-ci se révèle être en plus un formidable compositeur-arrangeur. Bien loin de se limiter au boogie traditionnel, sa musique mixe en toute liberté blues, soul, jazz et improvisations débridées, ainsi qu’en témoigne son épatant dernier album, “The Train”, couronné du Pied le trimestre dernier. Par Ulrick Parfum
• Buddy Johnson : Shufflin’ and rollin’ – Portrait d’un musicien qui dirigea un des big bands les plus populaires des années 1940 et 1950. Par Alain Tomas
• Muddy Gurdy : Reliés à la terre – Muddy Gurdy, c’est une rencontre humaine et spirituelle tout autant que musicale entre le groupe Hypnotic Wheels des Français Tia Gouttebel (guitare, voix), Marc “Marco” Glomeau (percussions) et Gilles Chabenat (vielle à roue) et les héritiers actuels que sont Cedric Burnside, Cameron Kimbrough, Pat Thomas et Sharde Thomas. Ou comment l’écho du blues primal résonne des collines du nord du Mississippi jusqu’aux volcans d’Auvergne pour parler du monde d’aujourd’hui. Explications de Marco et Tia. Par Éric Doidy
• Fantastic Negrito : Pas mort plus fort – On l’avait découvert en 2016 avec le courroucé “The Last Days Of Oakland” (qui décrochera un Grammy), le revoici avec le furieux “Please Don’t Be Dead”. Xavier Dphrepaulezz est toujours ce Fantastic Negrito qui ne mâche pas ses mots. Par Jules Do Mar
• Record Kicks : À coups de soul – Pour vivre heureux, vivons passionnés. Guidés par la seule boussole de leur bon goût, les labels indépendants qui ont choisi de mener leur barque loin des courants cumulent tranquillement les années de navigation. La mer n’est pas toujours d’huile, l’esquif est fragile, mais ils tiennent bon, même par gros temps. À Milan, cela fait quinze ans que Record Kicks navigue aux instruments, avec au gouvernail Nicolò Pozzoli. Par Franck Cochon
• Teresa James : Intuition à la racine – À l’instar des têtes d’affiches Bonnie Raitt, Delbert McClinton, Curtis Salgado ou Tommy Castro, la chanteuse Teresa James fait partie des fleurons de cette mouvance texano-californienne qui puise ses racines dans le terreau du blues, du rock ’n’ roll, de la soul et de la country originelle. Entretien avec l’auteure d’une carrière solo exemplaire débutée il y a plus de vingt ans et qui publie aujourd’hui un nouvel album tout aussi savoureux que les précédents. Par Ulrick Parfum
• Voices Of Mississippi : Au cœur de l’histoire – Un copieux coffret offre une nouvelle immersion dans le blues et le gospel ruraux des années 1960-70 magistralement documentés par William Ferris. Par Daniel Léon
• Kamasi Washington : Sur terre et ailleurs – Depuis la parution en 2015 de “The Epic”, difficile de passer à côté de Kamasi Washington. Omniprésent dans les festivals, il a collaboré avec Kendrick Lamar et John Legend, sera sur le prochain album d’Herbie Hancock et a même été invité par la télévision US à rendre hommage à George Michael, tout en trouvant le temps d’enregistrer un copieux nouvel album, “Heaven and Earth”… Rencontre avec celui qui est en train de rebattre les cartes du jazz d’aujourd’hui. Par Frédéric Adrian
Et aussi : hommage à Eddy “The Chief” Clearwater et plus de 190 chroniques d’albums et de livres.
Venez jouer dans le Sud Ouest de la France, à Villeneuve sur Lot (47), avec les meilleurs européens et américains !!!
Au sommaire :
Si le blues est toujours bien vivant aujourd’hui, c’est parce que les vieux bluesmen ont eu l’intelligence de transmettre leur savoir aux jeunes générations … Cela apparait comme une évidence, encore faut-il que ceux qui ont reçu ces connaissances aient à leur tour l’idée de continuer à faire circuler le flambeau ! Par chance il existe des gens qui ont fait de cette transmission du Blues leur raison d’être, un des plus actifs d’entre eux étant sans doute notre ami et Parrain de France Blues, Michael « Hawkeye » Herman …
C’est aujourd’hui, jour de la Fête de la Musique, que sort le clip « Le Blues du Pénitencier », une adaptation faite par Greg Zlap en l’honneur de Johnny Hallyday qui a été son patron mais aussi son ami pendant les dix années durant lesquelles ils auront collaboré.
L’Association « MUR DE BLUES » présente la Nuit du Blues avec trois concerts exceptionnels en OPEN AIR à Mur de Bretagne (22) Place St Suzanne le vendredi 13 juillet 2018 à partir de 19h. Ouverture du site 18 h. Billetterie sur place et dans différents points de vente (voir site internet ou Facebook)
Magazine trimestriel du Blues en France, d’un format pratique (16 cm X 24 cm), le magazine comporte 96 pages. Tout en couleur et abondamment illustré de photographies, le magazine vous fait revivre les concerts des artistes en tournée en France, vous replonge périodiquement dans l’histoire et les racines de la musique BLUES, sans oublier bien entendu de vous parler des dernières nouveautés du BLUES.
