Le vendredi 6 avril, si vous êtes passionné de blues, si vous aimez les concerts dans de petites salles plus intimes que les grosses structures, dirigez vous vers le C.A.C de Franqueville Saint-Pierre où se déroulera le 4ème festival « Blues Notes ».
Edition particulière puisque l’équipe de programmation à pris l’option délibérée de réserver ce concert à des grandes Dames du blues, mais aussi d’internationaliser cette soirée avec une artiste Française, une Australienne et enfin une Californienne qui, d’ailleurs, sera en tournée en France pour la première fois et passera à Franqueville Saint-Pierre pour notre et votre plus grand plaisir.
Bien sûr, les temps sont durs pour tout le monde, et on surveille tous ses dépenses, certes. Malgré cela, le plaisir d’aller au concert reste intact et fait du bien vous en conviendrez. C’est la raison pour laquelle toute l’équipe de « Passerelle » a travaillé afin de vous concocter un plateau de qualité tout en maintenant le prix du billet à 18€ comme les deux années précédentes, pour trois heures de musique d’extrême qualité.
En ouverture, Rachelle PLAS, jeune chanteuse harmoniciste venant de Pacy-sur-Eure (27). Elle a participé à des festivals emblématiques du Blues dans notre hexagone : Cognac Blues Passion où en 2010 elle a joué avec Joe Louis Walker.
Puis en 2ème partie, Fiona BOYLES une Australienne qui a grandi très loin du Mississipi . Toutefois, Fiona comprend le blues aussi profondément que si elle avait été élevée à « Dockery Farms », une plantation de coton créée en 1895 le long du delta du Mississippi. Son avant dernier CD « Blues Woman », fut à l’origine de l’idée du thème de Blues Notes 2012 « Tout au Féminin ».
Et enfin, Janet ROBIN une artiste Californienne de renommée internationale qui curieusement joue beaucoup aux USA et en Europe (République Tchèque, Allemagne, Royaume Uni…) mais n’est jamais venue jouer en quintet en France. Ce sera donc sa première tournée sur le sol hexagonal dans cette formule, quelques dates seulement dont Franqueville Saint-Pierre qui achèvera quasiment son périple. Il faut venir découvrir cette voix chaude, suave et dynamique à la fois, à l’accent Californien inimitable.
Bloquez votre soirée du 6 avril et venez la passer avec de telles artistes de passage exceptionnel en Haute-Normandie ! Renseignements sur http://passerelle.franceserv.com/
A quelques jours de leur toute première tournée en France, nous sommes heureux et fiers d’annoncer que le groupe MonkeyJunk a remporté ce week-end un Juno Award, équivalent au Canada de nos Victoires de la Musique (ou des Grammy américains), dans la catégorie « Meilleur album Blues de l’année ».
En à peine quatre ans d’existence, ce groupe d’Ottawa a réussi le tour de force de rafler à peu près toutes les récompenses professionnelles et populaires auxquelles il pouvait prétendre. Outre 12 Maple Blues Awards, un Canadien Independant Music Award, MonkeyJunk a ainsi remporté un Blues Music Award à Memphis en 2010, devenant l’un des deux seuls groupes canadiens à remporter ce trophée. L’autre étant, excusez du peu, Jeff Healey.
Le temps de se remettre de ses émotions, et le groupe MonkeyJunk prendra bientôt son départ pour une tournée française de découverte, dont voici les dates :
-20 avril 2012: Chapelle – Le Buis (87) -21 avril 2012: Le Café Français – Chinon (37) -22 avril 2012: Le Grattoir – Gerardmer (88) -25 avril 2012: Au Camionneur – Strasbourg (67) -27 avril 2012: Le Comptoir du Jazz -Bordeaux (33) -28 avril 2012: Festival Bain de Blues – Bain de Bretagne (35)
Rappelons que l’album récompensé, « To Behold », est publié sous le label canadien Stony Plain Records et distribué en France par le label DixieFrog
MonkeyJunk – Maple Blues Awards 2012 – « MOTHER’S CRYING »
Le 20 avril prochain, deux jours avant le premier tour des élections présidentielles, c’est au Buis qu’il faudra venir prendre la température. Car tout laisse à penser que la soirée sera chaude!
Elle débutera avec une ‘vieille’ connaissance, Lefty Dom. Quelque part entre l’estuaire de la Loire et le delta du Mississipi, il a posé ses guitares. Aux confins du blues et du folk, en français et en anglais, ses chansons coulent comme un fleuve tranquille et puissant, faisant la part belle à l’émotion. ‘Welcome inside !’ comme il l’annonce sur son site : http://www.leftydom.com/
Dom (et son acolyte Sib des Coup d’Blues – présents au BBF en 2006 et 2007) est intimement lié à l’histoire du BBF, et nous sommes donc très heureux et très fiers de le voir revenir au Buis nous présenter son nouveau projet.
En deuxième partie de soirée, le groupe Monkey Junk sera à l’honneur. C’est indéniablement le groupe montant de la scène canadienne (créé en 2008, ils raflent chaque année un nombre impressionnant de récompenses professionnelles – 5 Maple Awards en 2009, 3 en 2011, un Blues Music Award en 2010 à Memphis, et enfin une nomination aux Juno, les Victoires de la Musique canadiennes, en 2012) , et Le Buis aura l’honneur de les accueillir pour la première date de leur tournée française.
‘Swamp Rythm and Blues, Soul Boogie & Bedroom Funk’ : voici comment ils définissent leur musique! Peu importe les étiquettes, nous sommes littéralement tombés sous le charme de leurs deux albums (‘Tiger in Your Tank’ et ‘To Behold’) et sommes persuadés qu’il en sera de même pour ceux qui les découvriront le 20 avril prochain. Deux guitares (pas de basse, une de leurs particularités), un harmonica et une batterie, et le talent de Matt, Steve et Tony D. fera le reste!
Un groupe à découvrir absolument au Buis car leurs venues en Europe sont rares! Et pour vous donner une petite idée de leurs prestations live, faites un tour sur leur site, et vous serez rapidement convaincus : http://monkeyjunkband.com/
On se retrouve le 20 avril ? Attention, réservations fortement conseillées!
Suite aux divergences et au retrait par la Mairie de Tullins de son financement, les Tullinois et l’association « Sur la Route de Tullins » souhaitent conserver le Festival du même nom … à Tullins !
Si vous pensez que la culture génère des “externalités positives“, de la satisfaction qu’on appelle plaisir que nous ressentons lors d’un spectacle, alors pensez à signez la pétition ! Et faites circulez autour de vous cette mobilisation.
Janet Robin est une artiste californienne de renommée internationale … Extraordinaire chanteuse et guitariste, elle se permet de s’exprimer au travers de plusieurs styles différents au cours du même concert, grâce à sa technique vocale et musicale de haute volée.
Janet réside à Los Angeles et se produit toute l’année aux Etats-Unis. Elle tourne une ou deux fois par an en Europe (République Tchèque, Allemagne, Royaume Uni …) et, paradoxalement, ne s’est encore quasiment jamais produite en France.
Son dernier Album (2010) “Everything Has Changed” a été produit par John Carter Cash, le fils de Johnny Cash. Il faut absolument le découvrir et remarquer sa voix chaude, suave et à la fois extrêmement dynamique, à l’accent californien inimitable.
Dès son apparition sur scène, le public est séduit et captivé par cette artiste charismatique, au charme naturel.
Depuis fin janvier est apparu un magazine hebdomadaire numérique baptisé BDSphère, dont l’originalité consiste à traiter l’actualité et les nouvelles tendances au travers de la bande dessinée.
BDSphère offre à ses lecteurs la prépublication en exclusivité du nouvel album de la série O’Boys de Steve Cuzor, qui se déroule au cœur des années de la grande dépression aux Etats-Unis dans le delta du Mississippi. Cette série est un hymne à la gloire du blues. Le troisième album s’appelle « Midnight Crossroad ». Tout un programme, n’est-ce-pas pour ceux qui aiment allier blues et bande dessinée ?
Pour découvrir cette exclusivité, il suffit de se rendre sur www.bdsphere.fr et d’ouvrir un compte pour consulter gratuitement les premiers numéros. Depuis le numéro 6, on peut découvrir une dizaine de planches d’O’Boys par numéro … et le numéro 9 est paru depuis peu ! Alors à vos souris …
Ce 23 mars à 16h, à Water Valley, Mississippi (une douzaine de miles au sud-est d’Oxford), un nouveau « marker » sera dévoilé en l’honneur de John Luther « Casey » Jones.
Le 30 avril 1900, le train « Cannonball », opéré par l’Illinois Central sur la ligne Chicago-New Orleans, conduit par Casey Jones, percutait un train de marchandises en panne à Vaughan (Mississippi), un accident qui coûta la vie à l’héroïque conducteur. Instantanément immortalisé pour son courage, il entra dans la légende américaine, notamment grâce à de nombreuses chansons.
Après l’accident, ses copains de travail Wallace Saunders et Ike Wentworth écrivirent une ballade rapidement populaire chez les cheminots, faisant l’objet d’ajouts et de modifications. L’un d’eux, Cornelius Steen (ou Stein), vit sa version enregistrée par le folkloriste John Lomax à Canton en 1933. La chanson fut publiée dans un magazine ferroviaire en 1908, suivie par la première publication d’une partition créditant T. Lawrence Seibert et Eddie Newton. En 1910, un enregistrement réalisé par le chanteur de vaudeville Billy Murray se vendit à plus d’un million d’exemplaires. La première version country music fut enregistrée par Fiddlin’ John Carson en 1923. La première version blues publiée « Kassie Jones », est due à Furry Lewis (natif du Mississippi) en 1928. Mississippi John Hurt avait enregistré « Casey Jones » aussi en 1928 mais qui ne fut jamais commercialisé. Il en produisit de multiples versions dans les années 1960. Les bluesmen Jesse James et Bob Howard enregistrèrent « Southern Casey Jones » dans les années trente.
Parmi les nombreux artistes qui y allèrent de leur version, on note Johnny Cash, Sidney Bechet, le fantaisiste Spike Jones et Grateful Dead (dans l’album « Workingman’s Dead »)…
La saga de Casey Jones, comme nombre de légendes américaines, a été très largement popularisée par le théâtre, le cinéma et même une série télé, des bandes dessinées, des jouets, et bien sûr de nombreux musées dont le Water Valley Casey Jones Railroad Museum, ouvert en 1997 ou le Casey Jones Village à Jackson (Tennessee), une attraction touristique immanquable, halte bienvenue sur l’Interstate 40, à mi-chemin entre Memphis et Nashville.
Un administrateur n’ayant plus la disponibilité voulue a demandé à être remplacé au board de l’European Blues Union, tout en restant membre bien sur …
La candidature de Fred Delforge a été présentée à l’Assemblée Générale de Berlin le samedi 17 mars par le Conseil d’Administration comme unique proposition compte tenu de son implication, sa réactivité légendaire et sa compétence dans le domaine de la communication sur le web, et pour
tenir compte du fait que c’est la France qui compte le plus grand nombre d’adhérents dans l’association européenne.
Merci à lui l’infatigable de zicazic.com, de France Blues et maintenant de l’EBU