En cette année 2020 très spéciale durant laquelle tant de concerts et festivals ont été annulés ou reportés, La Voix du Blues et la mairie de Chateaurenard ont tenu à maintenir un événement, afin de défendre le spectacle vivant.
Les restrictions imposées étant nombreuses, il a cependant été décidé de ne faire exceptionnellement qu’une soirée, pour limiter les risques financiers de l’association.
Au programme, un très beau film réalisé par Ti and Bo qui nous dévoileront leur vision de l’histoire du festival avec des images et des interviews inédites.
Un hommage particulier sera rendu à Lucky Peterson, disparu cette année, que le festival a accueilli à plusieurs reprises.
Sur la scène de l’Etoile ensuite, le public pourra assister à un concert de Kathy Boyé & The DTG Gang. Et bien sûr, rencontres et dédicaces auront lieu après le show.
Une soirée pleine d’émotions et d’ondes positives, nous en avons tous bien besoin. Venez nombreux, nous avons hâte de vous revoir pour partager ces bons moments.
C’est une belle fin de semaine qui s’annonce pour les artistes français avec les Flyin’ Saucers Gumbo Special qui s’essaient au suédage pour nous proposer le clip bourré d’humour de Zydeco Train, un titre que vous pouvez écouter sur leur excellent album « Nothin’ but » paru il y a un peu plus d’un an (disponible en CD et en vinyle sur leur site) La réalisation est signée Manu Mazaux et ça vaut véritablement le coup d’oeil !
Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, c’est aujourd’hui, 25 septembre, qu’est sorti chez Dixiefrog le tout nouvel album de Fred Chapellier : « Best Of 25 Years On The Road », un concentré de 34 titres qui se déguste avec le plus grand plaisir !
Du Blues, du Rock, du Zydeco, voilà de quoi se mettre de la bonne musique dans les oreilles en attendant le retour des concerts !
Magazine trimestriel du Blues en France, d’un format pratique (16 cm X 24 cm), le magazine comporte 96 pages. Tout en couleur et abondamment illustré de photographies, le magazine vous fait revivre les concerts des artistes en tournée en France, vous replonge périodiquement dans l’histoire et les racines de la musique BLUES, sans oublier bien entendu de vous parler des dernières nouveautés du BLUES.
Au sommaire du N°98 :
– Les interviews de Jack Titley & The Wacky Jugs, les coulisses de la Blues Foundation, Dixiefrog, Neal Black, La Bedoune & Thomas Doucet, Eddie Cotton, Le Mot et le Reste …
– Les comptes rendus de concerts à Tremblay Saison 2019-2020 …
– La saga Little Richard …
– Le dossier Mississippi Stories : 1ère partie – William Ferris …
– et les rubriques habituelles : Chroniques CD, DVD, Livres, La Guitare de François, l’Harmo de Greg, la Basse de Pascal, La Lettre et l’Esprit et Surfin’ Blues
Vous êtes un jeune musicien de Blues ? Vous avez envie de progresser et d’entrer dans une démarche tendant à la professionnalisation ? France Blues vous accompagne dans votre parcours artistique et vous offre votre participation au BLUES CAMP de BLUES STATION à Villeneuve sur Lot (47) du mardi 27 au samedi 31 octobre 2020 …
La prise en charge par France Blues comprend :
La pension complète : hébergement et restauration au Lycée des Métiers de La Vie Rurale L’Oustal – Rue Paul Sabatier – 47300 Villeneuve sur Lot
Petit-déjeuner et repas en self. Chambres de 4 lits, paire de draps fournie, prévoir le linge et le nécessaire de toilette.
Ne sont pas compris dans la prise en charge France Blues : le transport domicile / lieu du stage, la fourniture des instruments et accessoires, les extras.
Matériel à apporter par les stagiaires :
Chant : microphone, câble.
Harmonica : instruments, microphone et ampli.
Guitare : instrument et ampli.
Guitare basse et contrebasse : instrument et ampli.
Batterie : instrument complet.
Saxophones : instrument.
Piano et orgue : instrument et ampli.
Violon, accordéon, trombone, trompette, etc… : instrument.
Pour tous les participants : un lecteur CD/Clé USB, un lecteur enregistreur MD ou MP3, rallonge et triplette électrique.
Une « tenue de scène » pour le concert du samedi.
Programme : Disciplines : chant, harmonica, guitare, basse et contrebasse, saxophone, trompette, batterie, piano et orgue, arrangements mais aussi violon, accordéon …
Comporte non seulement de la technique instrumentale, mais beaucoup de jeu de groupe dirigé, des notions d’arrangements et de nombreux ‘bœufs’.
Une pratique de base de l’instrument est suffisante.
Ces rencontres se clôtureront par un concert que vous donnerez sur scène le samedi 31 octobre 2020 en première partie de vos maîtres.
Les artistes / enseignants 2020 :
Harmonica : Nico Wayne Toussaint (Fr)
Chant : Gladys Amoros (Fr)
Guitare : Tonky De La Pena (Esp)
Guitare : Michel Foizon (Fr)
Piano : Paul San Martin (Esp)
Guitare basse & contrebasse : Abdell ‘‘B Bop’’ (Fr)
Batterie : Francis Gonzalez (Fr)
Saxophone, trompette : Sylvain Tejerizo (Fr)
(Liste sous réserve, d’autres artistes se rajouteront en fonction du nombre de stagiaires par atelier.)
Pour tenter d’être l’heureux élu à qui nous offrirons ce stage, il faut que vous ayez entre 14 et 25 ans, que vous ayez un niveau correct de pratique de votre instrument, que vous soyez membre d’un groupe de blues ou que vous soyez un artiste solo.
Adressez-nous votre lettre de motivation et votre CV musical et si possible une vidéo live présentant ce que vous jouez à l’adresse fred@franceblues.com avant le 2 octobre 2020, une commission d’écoute choisira le participant parmi les différents candidats.
« Myth of a Colorblind France » explore la vie extraordinaire et parfois difficile des Noirs à Paris du XIXe siècle à nos jours.
Le film
Depuis plus d’un siècle, des artistes, auteurs, musiciens et autres afro-américains se sont rendus à Paris pour se libérer du racisme des États-Unis.
Qu’est-ce qui a poussé ces Afro-Américains à choisir la France ? Pourquoi les Français étaient-ils fascinés par les Afro-Américains ? Et dans quelle mesure la France était-elle et est-elle vraiment daltonienne ?
Le nouveau film d’Alan Govenar explore ces questions et examine les façons dont le racisme a frappé non seulement les Afro-Américains fuyant les États-Unis, mais aussi les Africains et les personnes de couleur en France aujourd’hui. Le film explore la vie et la carrière d’Afro-Américains de renom qui ont émigré à Paris, notamment Josephine Baker, James Baldwin, Richard Wright, Beauford Delaney, Augusta Savage, Barbara Chase-Riboud et Lois Mailou Jones, et comprend des images rares de Henry Ossawa Tanner à Paris.
« Myth of a Colorblind France » présente des entretiens avec Michel Fabre (auteur d’une biographie historique sur Richard Wright), avec le psychanalyste et aficionado de jazz Francis Hofstein, avec le poète James Emanuel, avec l’historien Tyler Stovall, avec le cinéaste Thomas Allen Harris, avec le graffeur Quik, avec le producteur de hip hop Ben the Glorious Bastard, avec le batteur africain Karim Touré et bien d’autres encore …
Biographie du réalisateur
Alan Govenar est un écrivain, folkloriste, photographe et cinéaste. Il est président de Documentary Arts, une organisation à but non lucratif qu’il a fondée en 1985 pour présenter de nouvelles perspectives sur des questions historiques et des cultures diverses. Govenar est titulaire d’un B.A. avec distinction en folklore américain de l’Ohio State University, d’une maîtrise en folklore et anthropologie de l’Université du Texas à Austin et d’un doctorat en arts et sciences humaines de l’Université du Texas à Dallas. Il est boursier de la Fondation Guggenheim et auteur d’une trentaine de livres.
Govenar est également un dramaturge dont les comédies musicales « Blind Lemon Blues », « Lonesome Blues » et « Texas à Paris » ont été jouées au York Theatre (New York), au Forum Meyrin (Genève), à la Maison des Cultures du Monde (Paris), à Zuiderpershuis (Anvers), à Leidse Schouwburg (Leiden), à Regentes (Den Haag) et à Oude Luxor (Rotterdam).
Ses livres et ses photographies font partie de collections aux États-Unis et à l’étranger, notamment The Museum of Modern Art (New York), Victoria and Albert Museum (Londres), Centre Georges Pompidou (Paris), Museum of Fine Arts (Boston), National Portrait Gallery (Washington, DC) et San Francisco Museum of Modern Art.
Alan Govenar a reçu de la Blues Foundation en 2016 un Keeping The Blues Alive Award récompensant l’ensemble de son œuvre et son implication dans la préservation et la diffusion du blues.
La Blues Foundation a le plaisir d’annoncer la nomination de Patricia Wilson Aden comme sa prochaine Présidente et CEO. Elle apporte à la Fondation plus de trois décennies d’expérience de gestion à but non lucratif, avec une spécialisation dans la préservation et la célébration des ressources culturelles afro-américaines. Sa plus récente expérience en tant que Présidente-Directrice Générale de l’African American Museum de Philadelphie et son rôle antérieur de Directrice Exécutive de la Rhythm & Blues Foundation la rendent particulièrement qualifiée pour diriger la Blues Foundation et son Blues Hall of Fame … Patricia Wilson Aden succède à Barbara Newman qui prendra sa retraite le 30 septembre …
Ce programme est proposé dans le cadre d’une collaboration entre l’Association La Clique etc…, Virgule Prod. et le réseau national France Blues dans le cadre du dispositif « PedagoBlues »
Prochaines sessions :
– Les 23-24-25 novembre 2020 au Centre Social Boby Lapointe (Cléon – 76) en partenariat avec La Traverse – Les 2-3-4 décembre 2020 à Chorus – Scène de Jazz (Le Mans – 72) en partenariat avec Europajazz
• Cedric Burnside -Contrôle de la poitrine
La sortie du nouvel album est encore repoussée. Sa prochaine venue sur les scènes d’Europe remise à on-ne-sait-quand. Ce double constat d’une banalité rageante en 2020 ne remet pas en cause l’essentiel : le batteur, chanteur et guitariste du Nord du Mississippi n’est pas seulement le petit-fils de R.L. Burnside. Il est aujourd’hui l’un des principaux détenteurs d’un savoir-faire à part, cet art de cultiver un blues exaltant profondément enraciné dans la terre de ses ancêtres. Ou comment prolonger notre dossier “In Blues We Trust” de cet été. Rencontre en France fin 2019. Par Benoit Gautier. Photos par Éric Garault pour Soul Bag.
-The way he plays
Une leçon de guitare pas sommaire. Par Benoit Gautier
-Balade dans le Hill Country
Le nord de l’État du Mississippi a vu naître et grandir des musiciens qui ont sculpté le temps et l’histoire à leur manière. Itinéraire. Par Benoit Gautier
• Fantastic Negrito : Au nom du fin d’esprit
Un album coup de poing qui fait valser les étiquettes et clame fièrement sa liberté de questionner un monde malade. C’est la troisième fois que le Californien nous fait le coup, la troisième fois que Soul Bag lui donne la parole. Tout simplement parce qu’il y a beaucoup à apprendre de la renaissance artistique de ce fringant quinquagénaire. D’où ce long distance call en début d’été. Par Nicolas Teurnier
• Dan Penn : Au plus près de la chanson
Soixante ans après ses débuts d’auteur professionnel, Dan Penn décide de réactiver une carrière personnelle qu’il n’a jamais menée que par intermittence, préférant se concentrer sur le rôle d’auteur-compositeur et de producteur qui a fait de lui un des architectes majeurs de la southern soul, chanté par Aretha Franklin, James Carr, Percy Sledge, Solomon Burke et bien d’autres. Un bon prétexte pour parler avec lui d’écriture et de son nouvel album. Par Frédéric Adrian
• Métro Blues : Chicago 1975
Il y a 45 ans, un jeune Belge mordu de blues s’aventurait dans les entrailles de la Windy City. Un métro tentaculaire comme destrier et en ligne de mire un rendez-vous au pied d’une station du South Side avec une certaine Koko Taylor… Par André Hobus
• Kirk Joseph : Et le sousa fut
Depuis bientôt quatre décennies, son sousaphone donne le tempo à La Nouvelle-Orléans. Membre fondateur du Dirty Dozen Brass Band, Kirk Joseph a fait évoluer la tradition des fanfares, influençant de son jeu innovant l’ensemble de la scène contemporaine. De passage en France début 2019 pour une série de masterclasses et de concerts avec la version gauloise de son Backyard Groove, le Sousaking a pris le temps de revenir avec nous sur son parcours. Par Frédéric Adrian
• Sugar Ray Norcia : Les saveurs millésimées
Venu au blues à une époque où nombre de ses héros étaient encore actifs, Sugar Ray Norcia a appris à leur contact, dans le milieu musical foisonnant de la côte Est des États-Unis. Cinquante ans plus tard, le chanteur et harmoniciste connu pour la finesse et la douceur sucrée de son jeu est regardé lui-même comme un monument d’un blues subtilement ancré dans les années 1950 et 1960. Par Christophe Mourot
• Lianne La Havas : Laisser fleurir
Quand la chanteuse britannique décide de ne suivre que son instinct et de reprendre sa carrière en main, elle rebat les cartes avec un troisième album très personnel, bijou de subtilité qui n’a pas fini de nous enivrer. Par Mathieu Presseq
• The Greyboy Allstars : L’évidente connexion
La sortie simultanée de son excellent nouvel album et de la réédition de son premier LP nous donne l’occasion de revenir sur la carrière de ce combo californien, pionnier de la mouvance acid jazz du début des années 1990 et à la tête d’une discographie qui mérite d’être redécouverte. Rencontre avec son clavier Robert Walter. Par Ulrick Parfum
• Madison Ryann Ward : Par amour du beau jeu
Un EP et une poignée de singles d’une intensité telle qu’ils ne nous lâchent plus. C’est simple, la voix et la sensibilité de cette ex-volleyeuse de l’Oklahoma figurent parmi les plus marquantes de ces dernières années pourtant riches en matière de soul. Un talent indélébile encore trop discret. Par Nicolas Teurnier
• 79rs Gang : Le calumet de feu
Forte d’un deuxième album bouillant, l’alliance de deux Big Chiefs sous une bannière commune apporte une nouvelle preuve éclatante de la vitalité de la longue et riche tradition des Mardi Gras Indians. Par Hugues Marly
• Mighty Mo Rodgers : L’état du blues
En écho à l’ampleur inédite prise par le mouvement Black Lives Matter depuis le meurtre de George Floyd, nous avons demandé au musicien philosophe californien Maurice Rodgers comment ces événements résonnaient en lui. Par Daniél Léon
• Monster Mike Welch : Confiné inspiré
Un quart de siècle après son premier album-coup de poing “These Blues Are Mine”, le toujours jeune “Monster” Mike Welch apparaît comme l’un des fers de lance du blues contemporain. Qui pendant le confinement a enregistré seul toutes les parties d’un nouvel album bluffant. Par Marc Loison
• Samuel Charters : À la recherche des bluesman oubliés
L’anthologie “The Blues” parue en 1967 sur Asch a constitué pour certains amateurs une porte d’entrée dans l’univers du blues. La mention “Music from the Film by Samuel Charters” laissait espérer le visionnage du documentaire correspondant. Espoir déçu… jusqu’à aujourd’hui ! Par Jacques Périn
• Charles Pasi : Les lamelles zébrées
On avait croisé Charles Pasi il y a quinze ans : en 2005, le jeune harmoniciste et chanteur remportait le tremplin Blues Sur Seine puis sortait un premier album (cf. SB 183). Aujourd’hui, il est sur Blue Note et il publie son cinquième disque, “Zebra”. Par Julien Crué
• Peter Green (1946-2020)
Dans l’aristocratie des musiciens issus du “blues boom” britannique des années 1960, Peter Green était le plus doué. Guitariste à la sonorité unique – B.B. King disait de lui qu’il était le seul à le faire frissonner –, chanteur expressif et auteur-compositeur proprement original, seuls ses graves problèmes personnels, au premier rang desquels sa maladie psychiatrique, l’ont empêché de contribuer à l’égal de ses contemporains aux succès pop et rock des décennies suivantes. Par Frédéric Adrian
• Annie Laurie : La science de l’interprétation
Si l’histoire n’a pas retenu le nom de cette chanteuse que Priscilla Bowman, Joe Williams et Dinah Washington tenaient en grande estime, il est certain que la relative brièveté de sa carrière, qui démarra en 1946 pour se terminer en 1962 quand elle décida d’y mettre un terme définitif pour se consacrer à l’église, ne joua pas en sa faveur. Coup de projecteur. Par Alain Tomas
• A Day In… Saint-Louis, Missouri
Autant le dire tout de suite, je suis tombé amoureux de Saint-Louis et de sa scène blues. J’y suis déjà allé onze fois et je rêve d’y retourner. Qu’importe si la plupart des spécialistes des États-Unis prétendent que la ville n’a aucun intérêt. C’est tout le contraire. Par Jocelyn Richez
Hommages à Bryan Lee, D.J. Rogers et Jacques Demêtre.
Et plus de 130 chroniques de CD, livres et DVD + Le CD Soul Bag
Ce programme est proposé dans le cadre d’une collaboration entre l’Association La Clique etc…, Virgule Prod. et le réseau national France Blues dans le cadre du dispositif « PedagoBlues »
L’éducation artistique et culturelle est une composante majeure des politiques publiques et conjugue les aspirations de la culture et de l’éducation nationale. Elle privilégie le contact direct avec les œuvres, les artistes et les institutions culturelles, dans le cadre des enseignements artistiques comme dans celui des actions éducatives. Dans une carrière, un artiste peut être amené à s’adresser au jeune public en tant qu’auteur, compositeur ou musicien interprète. Il est important de comprendre et connaitre le public auquel l’artiste va s’adresser.
L’objectif est de concevoir et organiser un spectacle musical, et engager des actions pédagogiques avec les enfants et adolescents mais aussi d’accroître ses capacités pédagogiques pour développer l’écoute, la curiosité intellectuelle des élèves et enrichir leur culture
La formation, animée par Cyril Maguy, se fait par cycle de 3 jours consécutifs (21 heures)
Deux sessions sont proposées au choix :
– Les 23-24-25 novembre 2020 au Centre Social Boby Lapointe (Cléon – 76) en partenariat avec La Traverse – Les 2-3-4 décembre 2020 à Chorus – Scène de Jazz (Le Mans – 72) en partenariat avec Europajazz
Pour inscription, demande de programme, information sur les financements contacter Claudine AMAT, chargée de la coordination pédagogique 09.81.63.30.98 – formation@laclique-production.com
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès d’Etienne Mortini survenu le 29 aout dernier, après de longues années de lutte discrète contre la maladie.
Membre Fondateur de France Blues, Administrateur dès la première heure, Etienne était le cinéaste de l’association, celui qui a si bien su retranscrire en images les émotions liées à chacun des Challenges Blues Français. A nos côtés également à quatre reprises dans le Sud des Etats Unis, il en est revenu avec les trois volets de la série « En Terre de Blues » dans laquelle il évoquait son amour de la musique et des gens.
Passionné par le cinéma et par les trains, grand fan des Rolling Stones, chanteur à la voix assurée, Etienne était également un épicurien avec lequel c’était toujours un bonheur de partager une bourriche d’huitres, un verre de vin ou même un whisky. Sa barbe d’une infinie douceur, sa casquette toujours posée à l’envers et sa ressemblance frappante avec Sean Connery nous manquent déjà …
Toutes nos pensées vont vers Mireille, sa compagne, qui est également notre amie et une fidèle Administratrice de France Blues, et bien évidemment vers sa famille, ses enfants et petits-enfants …